Émile BAUDIN

 

 

 

 

Émile Jean Marie Alphonse BAUDIN dit Émile BAUDIN

 

ténor français

(11 boulevard de Clichy, Paris 9e, 02 mai 1870* – Paris 9e, 20 octobre 1948*)

 

Fils de Gaspard BAUDIN (Paray-le-Monial, Saône-et-Loire, 30 mai 1836* –), négociant [fils de Jean-Baptiste BAUDIN, employé dans l’administration des contributions indirectes], et d’Anne Louise MARTIN (Valence, Drôme, 26 avril 1843* –), mariés à Paris 9e le 04 avril 1869*.

Epouse à Paris 18e le 21 janvier 1905* (divorce le 13 octobre 1913) Henriette QUINAUX dite Henriette QUINAULT (1883–1964), danseuse de l'Opéra [sœur de Robert QUINAULT, danseur].

Parents de Jeanne Émilienne Georgette Léa BAUDIN dite Jane ARÈS (Paris 18e, 28 septembre 1902* – Sauveterre, Gard, 05 novembre 1990), chanteuse de music-hall.

 

 

Il a chanté des petits rôles au Palais Garnier. Le 08 mars 1908, il fut nommé officier d’académie pour son activité de professeur de musique à Paris.

En 1906, il habitait 50 rue Damrémont à Paris 18e. Il est décédé en 1948 à soixante-dix-huit ans, en son domicile, 155 rue du Faubourg-Poissonnière à Paris 9e.

 

 

 

Sa carrière à l'Opéra de Paris

 

Il y débuta le 06 mars 1899 dans Guillaume Tell (un Paysan).

 

Il y chanta les Huguenots (Léonard, 1899 [1000e le 21 mars 1903] ; un Moine, 1900 ; Boisrosé, 1903) ; Salammbô (Grand-Prêtre de Melkarth, 1899 ; Pontife, 1904) ; le Prophète (un Soldat, 1899 ; un Seigneur, 1903) ; Patrie ! (Miguel, 1900) ; Thaïs (un Cénobite, 1901) ; Lohengrin (un Vassal, 1901) ; l’Africaine (un Officier, 1902) ; Henry VIII (un Officier, 1903) ; Thamara (un Officier, 1907).

Il y créa le 07 février 1900 Lancelot (un Chevalier Pair) de Victorin Joncières.

 

Il y participa à la première le 26 mai 1899 de Joseph (Gad) d’Etienne Méhul ; le 06 mars 1903 de la Statue (un Homme de justice) d’Ernest Reyer.

 

 

 

 

 

 

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