Amélie BRUDER
Amélie Blanche Louise BRUDER dite Amélie BRUDER
cantatrice française
(20 rue de Nemours, Paris 11e, 19 mai 1899* – Paris 9e, 29 décembre 1982*)
Fille de Paul Henri BRUDER (Strasbourg, Bas-Rhin, 07 février 1869 – L’Etang-la-Ville, Seine-et-Oise [auj. Yvelines], 04 janvier 1943), employé d’assurances, et de Blanche CHÉRON (Paris 13e, 08 janvier 1872 – L’Etang-la-Ville, 17 octobre 1940), couturière, mariés à Paris 11e le 18 février 1897.
Epouse 1. à Paris 11e le 07 mars 1922* (divorce 14 décembre 1932) René Auguste JACOB (Paris 19e, 29 avril 1894* – ap. 1940), musicien.
Epouse 2. à Marly-le-Roi, Seine-et-Oise [auj. Yvelines], le 01 août 1940 André Jules LAFOSSE (Marly-le-Roi, 13 mars 1890* – Paris 9e, 08 mars 1975*), trombone à l'Opéra-Comique puis à l'Opéra, fils d'Henri Joseph LAFOSSE (Saint-Germain-en-Laye, Seine-et-Oise [auj. Yvelines], 15 juillet 1876 – ap. 1926), inspecteur d'assurances, et de Marie Juliette TIFFAGNON (Saint-Germain-en-Laye, 1876 –) ; père d’André LAFOSSE (Paris 18e, 12 janvier 1920 – Paris 15e, 11 juillet 1996).
Elle a chanté au Palais Garnier à partir de 1930.
En 1922, elle habitait 165 boulevard Voltaire à Paris 11e ; en 1931, 32 rue Véron à Paris 18e. Elle est décédée en 1982 à quatre-vingt-trois ans en son domicile, 8 rue de la Chaussée-d’Antin à Paris 9e.
Sa carrière à l'Opéra de Paris
Elle y chanta Castor et Pollux (une Suivante d’Hébé, 1930) ; Parsifal (une Fille-fleur, 1933) ; les Huguenots (une Dame d'honneur, 1936) ; Pénélope (une Suivante, 1943) ; Hérodiade (une Esclave, 1945). |